Résidence -PICNICS À NEVERLAND

LE MATAHARI KOLLECTIF

Résidence : 21 > 24 mars 2022

PETER : «JE TUE LES GENS LE WEEK-END.» 
WENDY : «RIEN QUE LE WEEK-END?» 
PETER : «C’EST LA DIFFÉRENCE ENTRE UNE ÎLE IMAGINAIRE ET CETTE MÊME ÎLE QUAND ELLE DEVIENT RÉELLE.»

Que feriez vous pour ne pas être abandonné par la personne que vous aimez ?

Renieriez-vous vos amis, votre patrie, s’il/elle vous le demandait ? Vous feriez-vous teindre en blonde ou vous laisseriez-vous devenir l’ombre de son ombre, l’ombre de sa main, l’ombre de son chien ?

Ne me quitte pas, ne me quitte pas : cette supplication, ce lamento aux accents d’élégie, depuis Orphée jusqu’à Jacques Brel ou Edith Piaf, le Chanteur semble en faire un thème éternel.

Pourtant cet hymne à l’amour cache une très grande terreur toute enfantine que la psychologie nomme Syndrome de Wendy et qui agite en nous constamment cet étrangeté de l’inconvénient d’être né…

@DianaDavid

Une écriture du Matahari Kollectif | Avec Claudia Bruno, Cedric le Goulven, Matthieu Vergez | Mise en scène Harry Sudène | Création lumière Christophe Deprez | Création video Elodie Huré et Stéphane Oertli | Environnement sonore Arnaud Riedinger

Soutien : théâtre des riches claires/ théâtre de la vie/ maison de la création laeken/ le BAMP / kamari residency Chypre / théâtre Ocean Nord.